Au revoir

On dit :
L'art est enfant de passion.
Qu'est-ce que ça signifie ? Est-ce si simple ? Passion ?
La joie, la haine, l'espoir, le courage, l'amour, la tristesse...
L'art n'est rien de plus qu'un pion pour montrer des émotions. Pour que le monde reste monde ou pour qu'il devienne ce que nous en attendons il faut garder enseignement de ses actes. A travers poésie, peinture, chanson ou roman, gardons en mémoire ces ressentis. On pourrait dire de certains sentiments qu'ils sont inoubliables, mais c'est évident, certains actes, certains mots, prouvent que la mémoire est loin d'être le meilleur temple. Il est dur parfois de trouver l'oeuvre qui permettra de traduir le sentiment qu'on veut offrir. Mon oeuvre est celle-ci, un texte. Un texte peu lu si ce n'est pas mais qui va garder la marque de ce que je pense, les mots que j'ai pensé... J'ai ces larmes inutiles sur mes joues, la bouche légérement entrouverte, je n'aie plus qu'à murmurer...

Au revoir.
Tu as trouvé ta place dans cette famille,
Adieu ma belle L. 

J'avais simplement dit à Mr Le Capitaine :
_ Je t'en pris ne me laisse pas !
Il ne me répondit pas, il quitta ma chambre en claquant la porte derrière lui. Je suis tombée à genoux et j'ai simplement contemplé mes mains. Il aurait pu pleuvoir ou même neiger dans la pièce, je ne m'en serrait pas aperçu, démolie par le chagrin de l'abandon de mon père. J'ai contemplé le dessin accroché au dessus de la cheminée, dessin fait par une vieille nourrice morte depuis déjà quelques années. Il représentait un ange dont on semblait avoir arraché les ailes. Je ne pouvais même pas m'identifier à ce tableau, moi je n'avais jamais volé alors comment m'arracher mes ailes ? Je voulais mourrir je voulais le rendre aussi triste qu'il m'avait rendu triste en me laissant ici, en me disant que je ne lui causerait plus de soucis en vivant chez ma tante.
Je lui ferait payer cette horrible décision, je lui ferait regretter de ne pas avoir été là pour me voir grandir.   

Je n'avais jamais réfléchis au monde si elle disparaissait , elle . Nous avions passé notre vie ensemble , je me souviens de tout comme si c'était hier , de notre enfance , notre adolescence , nos bleues , nos peurs , nos amours , nos conseils , nos souffrances , nos ruptures .... Pour moi , elle était mon seul soleil dans me vie , malgré mon mari , il n'y avait qu'elle que j'adorais .
 Et elle est décédé !
 pourquoi?.
Pourquoi?

POURQUOI?!!!
Pourquoi est-elle partie ?
Elle ne le mérité pas ça ! NON , pas cette mort.
Ca c'est passé sous mes yeux , si vite que ne n'est rien vu venir juste , une dernière fois son visage souriant avant que cette personne ne vienne la tuée ,
NON
il n'avait pas le droit !

Maintenant ma vie ne brie plus , c'était les paillettes de ses yeux qui faisait tout brillait !
j'attends mon heure a moi , pourquoi vivre alors qu'il n'y a plus aucune raison  ?
Ma seule et unique raison



De Pluie

Un dur apprentissage

Le Maître était accoudé à la branche basse d'un des nombreux arbres du bois.
_ Tu ne te concentre pas assez !
Il donna un léger coup de pied à l'arrière de mon dos et je failli perdre l'équilibre. "Pathétique" l'entendis-je penser "il n'arrive pas à tenir accroupis". Heureusement il ne savait pas que je pouvais lire dans ses pensées. Quand je suis tombé tête la première dans la marmite des sorcière il y a un mois, j'ai touché d'autres ingrédients aux vertus magique, conclusion : j'ai quelques pouvoirs à présent. Un que je n'ai pu cacher à mon maître, je sais comprendre n'importe quelle langue, il l'a compris en me voyant converser avec un commerçant qui venait de Loukanie. Je crois aussi être capable de comprendre certains langage non humain, ce qui est très très dur.
C'est derniers temps mon maître a même songé à m'abandonner, à me remplacer par un élève plus doué. Je ne sais pas ce qui l'a retenue mais je peux juste constater que je suis toujours avec lui. Je n'ai aucun talent, je l'avais prévenue, maintenant il peut s'en rendre compte par lui même. Je voudrais lui crier : " Vas-y débarrasse toi de moi !".
_ Tu te baisse et tu te concentre sur ton point de gravité ! Les pieds parallèles pour plus d'élégance... Ton équilibre ne doit pas dépendre de tes bras... C'est mieux !
Un compliment ? Je ne croyais pas qu'il s'adressait à moi. Le jour où il m'abandonnera sera le pire de ma vie et je sais que ce jour viendra. Je continuerais jusqu'à ce que mes larmes se teinte de rouge. Je voudrais qu'il soit fier de moi...
Oublier le début de courbatures que me lançaient mes jambes qui étaient dans la positions accroupis depuis une demie heure, oublier pour ce concentrer... Une heure... Deux heure...
Mon maître donna un coup de pied entre mes omoplates et, à sa surprise autant qu'à la mienne, je ne suis pas tombé.
_ Voilà la raison pour laquelle je ne t'abandonne pas !
Lança t-il en partant.

Une page de cahier

Elle est blanche cette page de cahier et mon encre est noire... Je ne sais qu'écrire. Écrire une vie ou en écrire une autre, imaginer savoir faire autre chose. Rendre chaque mot une aventure rendre chaque lettre une histoire. Un talent, une passion ou juste une illusion ? Juste ma vie à moi, loin de celle que je suis capable de créer, loin des monstres que je sais inventer. Je vis à travers les lignes, je pense à travers ces mots. J'aime mes fautes d'ortographes... Mais je ne m'aime pas moi.

Un fardeau

Il y a eu nombre de fardeau dans notre histoire. Le plus connu ? L'anneau de Tolkien est sans nul doute le plus évoqué. Il a rongé ses porteurs jusqu'à créer l'une des hitoires les plus connues. Mais cette histoire est t'elle inventé de toute pièce ? Peut importe pour le moment.
Si nous sommes ici c'est pour parler d'un autre fardeau, un de ces fameux fardeau qui ont détruit un grand nombre de vie. Le fardeau du secret.

Un beau couple

" C'était un beau couple", c'est ce qu'ils disaient.

Les gens ne connaissent rien à la vie, dès qu'ils savent la comprendre, il est trop tard. Les gens les trouvaient magnifiques quand le couple était jeune, beau, nouveau, sans aucune ride, sans aucune trace de colère. Que ce passe t'il quand un couple vieilli ?
Des traces de vie se rajoutent, tout simplement. Un plis entre les sourcils apparait, indiquant qu'il y a eu des inquiétudes. Dans le bas du front, un creux se forme, trace de petites ou de grandes colères. Le dessous des yeux se creusent, la peau est fatiguée d'avoir si souvent reçu le soleil. Le bord des paupières est couvert de pattes d'oies, le couple a rit.
Un couple d'elfe, banal ordinaire... Une histoire, une belle histoire... Mais le publique ne voulait plus la connaître à partir du moment où ce ne fut plus nouveau.
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Il parait qu'au bout de deux siècles à se regarder dans les yeux, les mots perdent leurs sens et ne sont même plus utilisés. Un amour elfique est plus fort que toute la haine du monde.

De Miss Lune

Poussière d'étoiles

_Toute petite j'aimais déjà les étoiles. Quand ma mère croyait que je dormais je me relevais et allais m'asseoir devant la fenêtre. Je pouvais voir tous ces dessins dont les adultes parlaient et plus encore. J'étais capable de me brûler les yeux à force de les garder ouvert. Je ne rêvais pas endormis, mais réveillée. Les professeurs me disaient au début "tu es toujours dans la lune, essaye de te concentrer" ensuite ce fut "tu n'écoute pas mon cours, tu sors !". Mes notes déjà médiocres ont chutées de plus en plus avec les années jusqu'à ce qu'on me punissent pour un oui ou un non. Ils me savaient dans la norme de l'intelligence, ils ne pouvaient rien faire. Je ne me suis jamais mise à détester les professeurs, ils faisaient ce qu'ils croyaient être la solution. Je n'avais pas d'amis, mes amis se montraient seulement la nuit. Je n'avais des notes assez élevées pour rejoindre la section astronomie de mon école. Je n'avais assez de points que pour une chose, la pire de toutes. Je me suis retrouvée en art du spectacle !

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De Miss Lune

Une petite Histoire

Je m'appelle Niala .
15 ans
Je n'est pas de famille , enfin pas vraiment juste une famille d'accueil assez simpa.
Mes parents ? Jamais , jamais entendu , jamais vu - même pas de photo-
Sinon aussi j'ai une marque noire à la main , beaucoup de question se sont posé sur cette marque , mais rien ,
même pas de la part des scientifiques!
Mis à par ça je suis banale , 1m 70 , blonde , yeux violine , teints mâte et amoureuse DU mec de l'école -Samuel-
beau , grand , riche , gentil , populaire , bon élève , enfin je peux rêver il a une copine , une bombe !!

Je m' appel Samuel
J'ai 15 ans
15 ans de vie de merde!
J'aime personne , et pourtant j'ai une copine que je n'aime pas aussi
Je suis banal , un boulet un peu quand même
Mes parents sont de super grands acteurs internationaux donc je n'est pas beaucoup de temps avec eux
Les paparazzis sont infernales !!
Au faite les filles me trouve grandiose , moi je trouve ça pathétique !

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De Juliette

Merci Juliette

_ Maintenant que ce grain de sable est dans ma main, qu'es que je dois faire ?

_ Tu dois le savoir.

Elle souffla délicatemant sur cette poussière, elle s'envola simplement. Aïna baissa la tête deçu :

_ Je n'ai pas réussi ! Je suis nul... Vraiment très nul !

_ Quand tu as décidé de dire n'importe quoi, toi alors !

Le petit homme blond reposa un grain de sable dans la main d'Aïna et recula. Elle souffla denouveau dessus. La poussière resta en place. Puis, elle grossi, grossi, grossi, et prit peu à peu la forme d'un tout petit arbre.

_ Quand la magie arrive, dit le petit homme, il faut lui laisser le temps de pousser.

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De Miss Lune

Bonne nouvelle

Chers internautes, chers fan de mystères et magie,

Aujourd'hui est un grand jour ! Pour lutin comme elfes, d'Arball à l'école de la tour, de l'Arcanie à Mensimmer, c'est la fête.

Histoire d'étincelles bleus et dorés vont être pimentées d'un nouvel écrivain. D'un grain de sucre au milieu de ce sel qu'est mon écriture. Au nom de cette poussière dans l'oeil, au nom du coton dans le ciel, merci d'accueillir votre nouvelle romancière : Juliette

Nouveau livre fureur

_Vous devrez porter le tenue officielle à partir de maintenant. Allez chercher ma nouvelle robe chez la couturière, vous ferez également le rangement de ma chambre et vous me ferez couler un bain parfumé à la rose verte. Je compte également sur vous pour.
_ Alors ce n'est pas une rumeur, les princesses sont de sales garces capricieuses qui ne savent pas se servir de leurs mains! Elle se retourna en lui exposant son dos fin et majestueux. Elle avança lentement dans une démarche souple et remplie d’orgueil vers son grand canapé. Elle s’y installa et le jaugea du regard :

_ Vous êtes à mon service depuis à peine cinq minutes et vous m'insultez déjà?

Elle eu un petit rire léger mais affreusement désagréable aux oreilles de son «serviteur».

_ Je n'ai toujours eu pour mon service personnel que des servantes, peut-être aurais-je du garder un entourage strictement féminin.
Le serviteur rit lui aussi, un rire plus sonore et bien plus sincère. Il s’approcha vers elle et imitant le premier regard qu’elle avait eu envers lui, il dit :

_ Si je suis là c'est parce que toutes vos anciennes servantes ont démissionnées. Aucune n'a pu tenir plus d'un mois au côté d'une enfant gâtée comme vous. Vous n'avez jamais pensé que si elles étaient parties c'était de votre faute?

Il était sûrement allé trop loin.

_ Sortez tout de suite!

Hurla t’elle en montrant du doigt la grande porte en bois.

_ Bien sûr, mais après avoir fait couler votre bain.

Il se dirigea vers la salle de bain et avant de passer le canapé, il lança sur un ton ironique :

_ Votre majesté

Elle serra les dents et fronça les sourcils, évidemment lui ne le vit pas. Une fois qu’il fût sorti elle se leva et alla s’appuyer contre la fenêtre. Elle regarda les futurs soldas qui s’entraînaient au combat à main nu et repensa à son nouveau serviteur. Comment pouvait t’il oser lui parler ainsi ? Fille du roi de Marakammbe, l’un des hommes les plus importants du monde et sans doute le plus riche. En plus il ne la connaissait pas, il n’avait donc aucun droit de la juger. De toutes façons, connue ou pas il n’avait aucun droit de la juger.

Une odeur envoûtante sortie de la salle de bain et elle se retourna.

Il était beau, incroyablement beau. Son père l’avait engagé pour qu’il soit son garde du corps et puisque qu’il ne la quittait jamais, qu’il soit également à son service.

_ Votre bain Madame.

Il s’approcha et commença à délacer sa robe. Elle recula aussitôt, indigné.

_ Que faite vous?

_ Mon travail! Ne réagissait pas comme ça, vous demandiez cette tâche à vos anciennes suivantes, et vous avez dis à votre père que vous me traiteriez pareilles qu'elles malgré mon statut de garde du corps. Alors assumez toutes vos paroles.

Elle resta quelques secondes sans rien dire et sans bouger, puis finalement exposa son dos à…

_ Comment vous appelez vous?

_ Ça vous intéresse?

Elle garda le silence.

_ Je m'appelle Kaël de la maison Montagne.
Une fois qu’il l’eut déshabillé de sa robe il s’éloigna. Sans doute que le reste n’était pas sa tâche. Il avait l’air tellement malheureux. Ses nombreuses années à s’entraîner jour et nuit pour finalement devenir presque un esclave. Elle alla en direction de la salle de bain et ferma la porte après son passage.

Voilà! C'était un extrait du nouveau roman fureur de Stifanhanie Malheur! Vous êtes avec votre présentateur préféré : Sanedi. Nous sommes le 1er janvier 2010 et la neige tombe doucement aux alentours d'Arball ! C'est le moment idéal pour lire des histoires de princesses orgueilleuses tombant amoureuse d'un grand aventurier. Allez les filles, toutes à la librairie! Moi, je me contenterais de réviser les cours de gastronomie. Un sujet qui fâche : c'est bientôt la rentrée et il serait temps de rentrer de vos voyages! Comme mon cher associé par exemple, il est partit skier et il était censé rentrer hier et à cause de la neige, il est toujours dans la montagne du troll.

Oh, il faut que je rende l'antene! C'était Sanedi dans "une heure avec un collègien" !